Cet article utilise la théorie de la psychologie positive de Martin Seligman (1942) pour démontrer que la pensée d’une personne est essentielle à sa réussite et à son bonheur dans la vie. La théorie soutient que le résultat d’une personne dans la vie dépend de sa façon de penser. L’article cherche donc à établir un lien intrinsèque entre la réalisation de la protagoniste de McBagonluri et sa pensée. D’une part, il précise comment l’auteur a réussi à déconstruire la représentation sexiste existante des femmes. D’autre part, il met en lumière des traits indispensables qui ont aidé la protagoniste de McBagonluri à s’élever au-delà des limites sociales imposées par l’idéologie patriarcale aux femmes.
Mots-clés : Pensée positive ; limites sociales; patriarcat; sexisme; psychologie positive
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