Cette étude examine les ravages de la corruption sur la performance et l’excellence universitaires ainsi que sur la société dans son ensemble. Basée sur la sociocritique, en particulier le nouvel historicisme, l’étude soulève des questions de pratiques contraires à l’éthique telles que le favoritisme dans le processus d’admission qui ont été sous-étudiées et remet en question cette pratique qui brise les familles et rabaisse l’université. Les résultats révèlent que l’utilisation de la corruption pour atteindre son objectif est préjudiciable à l’harmonie interfamiliale. Il a également été constaté que mettre l’accent sur l’excellence est toujours gratifiant.
Mots-clés : Corruption, destin, éthique, injustice, université