Dans cet article, j’explore, dans le cadre de la sémiotique, comment Sami Tchak, à travers un effort d’écriture débarrassée des canons classiques, a donné une liberté de ton ainsi que l’éclatement de la structure comme élément supplémentaire de signification dans La Fête des masques. Dans le roman, l’auteur s’engage dans la pratique d’une écriture nouvelle, caractérisée par le brouillage énonciatif, la rupture du style balzacien, la violence scripturale, l’espace incertain et surtout la caricature des figures politiques. Ce faisant, l’auteur rend explicite sa préoccupation face au modèle classique européen et s’affirme comme partisan du renouvellement de l’esthétique littéraire africaine.
Mots-clés : Écriture fragmentaire, renouvellement, esthétique littéraire, démaîtrise, déconstruction.
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