L’esthétique de la COVID-19 dans Les Enfants de midi de Koutchoukalo Tchassim

Le monde entier a appris vers la fin de l’année 2019 l’apparition de la Covid-19, un virus qui décime une partie de la population chinoise. Alors que l’on croyait que ce virus se limiterait à la seule Chine, il s’est propagé sur notre planète avec une vitesse fulgurante, obligeant les autorités politiques à prendre des mesures exceptionnelles pour freiner ses effets et les spécialistes de la santé à réfléchir aux remèdes. Cet article a donc pour objectif d’étudier le rôle que les écrivains ont pu jouer à leur tour à cette époque de crise sanitaire. Parmi les nombreuses productions romanesques relatives à l’écriture de la Covid-19, nous avons choisi de nous pencher sur Les Enfants de midi de Koutchoukalo Tchassim publié en 2020, le temps où la crise était à son paroxysme. Son ouvrage se présente comme le journal intime de la seconde épouse du personnage principal dont les actes d’infidélités le privent d’un avenir radieux. Au-delà de la représentation du thème de la Covid-19 et de ses implications, cette étude révèle la prise de conscience de l’homme de sa fragilité. L’approche sémiotique de Joseph Courtés dont l’attention est portée à la structure et notamment à la forme du contenu servira de guide pour l’étude.
Mots clés : Esthétique, crise sanitaire, sémiotique, désespoir, responsabilité.

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