L’oeuvre romanesque de Michel Houellebecq domine l’espace littéraire français depuis plusieurs années en raison des thématiques qu’il développe et qui soulèvent de vives polémiques. En effet, aimé des uns et détesté des autres, le romancier promeut d’oeuvre en oeuvre la décadence du monde contemporain. Par ailleurs, l’image du clonage humain relève d’un problème d’éthique et demeure un motif qui incline d’emblée une réflexion autour de la super-puissance humaine. La Possibilité d’une île de Michel Houellebecq est le roman qui porte au pinacle la notion de néo-humanisme à partir de la représentation du clonage reproductif humain. Notre article se propose d’analyser le roman de l’écrivain français et démontrer qu’il met en scène une sorte de transition, c’est-à-dire passer de l’étape de l’humain qui est un être poussé vers la mort et l’humain cloné qui aspire demeurer pour l’éternité à l’aide de l’herméneutique de Martin Heidegger et de la mythocritique de Gilbert Durand.
Mots-clés : Clonage Humain, Super-Puissance, Mythe, Vieillesse, Houellebecq.
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