A l´instar de beaucoup de pays africains, le système éducatif togolais réserve une place de choix, sinon exclusive aux langues étrangères. Ce fait amène souvent tout observateur de l´école togolaise à se poser des questions sur les raisons du choix de la politique linguistique dans les écoles togolaises. En ce sens cet article se proposer de revisiter un pan de l´histoire du Togo afin d´apporter des réponses à cette inquiétude légitime qui fait référence à la place prépondérantes des langues étrangères dans les programmes scolaires du Togo au détriment des langues nationales. Cette contribution a tenté, dans un premier temps, de relever les mécanismes par lesquels les langues étrangères ont été introduites dans le système éducatif togolais. Ensuite elle a présenté les objectifs pour lesquels elles étaient/sont apprises et enfin l´article s´est prononcé sur le statut des langues étrangères et des langues nationales dans le système éducatif togolais.
Mots-clés : Politique linguistique, langues étrangères, langues nationales, Togo, colonisation
Secondary Menu
-
News
- Évolution de la prise en compte de la Santé Sécurité au Travail dans les entreprises en Normandie, France : quelles avancées avec l’ISO 45001 ?
- Identités et altérité dans Une enfance métissée d’Abdallah Mdarhri Alaoui
- Accréditation des offres de formation de Licence en Sciences Infirmières et en Sciences Obstétricales de l’Institut National Médico-Sanitaire du Bénin : chemin parcouru et leçons apprises
- Editorial team
- The Redeemed Black Identity in Margaret Walker’s « For My People » and Langston Hughes’s « I, Too »: A Critical Race Theory Reading
Commentaires récents
- smouzou dans Uirtus Vol. 1, N°. 1; Août 2021
- Uirtus Vol 1 N° 1 – uirtus dans Bibliographie
- DAHE Youlde Stéphane dans Uirtus Vol. 1, N°. 1; Août 2021
- Uirtus Vol 1 N° 1 – uirtus dans Le prince Fama dans Les soleils des indépendances d’Ahmadou Kourouma : Des honneurs à l’horreur
- Uirtus Vol 1 N° 1 – uirtus dans Le prince Fama dans Les soleils des indépendances d’Ahmadou Kourouma : Des honneurs à l’horreur